La start-up Climeworks se proposait de piéger le CO₂. Vite valorisée à 1 milliard de dollars, elle a été imitée par bien d’autres. Cette technologie n’a pas tenu ses promesses, et, aujourd’hui, beaucoup d’entreprises et de particuliers pourraient s’estimer floués, observe Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique.Usine de l’entreprise suisse Climeworks, pionnière dans la capture du carbone dans l’air, à Hellisheidi, en Islande, le 8 mai 2024.
« Les entreprises de capture du CO₂ dans l’air émettent plus de carbone qu’elles n’en éliminent »
Scritto il 21/05/2025
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